Video UKR_NigelFarage_2014.mp4 https://x.com/ivan_8848/status/1734178143739486558 Nigel Farage : Arrêtez de jouer les jeux de guerre avec Poutine Transcription : Parmi la longue liste d'échecs et de contradictions de politique étrangère de ces dernières années, y compris, bien sûr, les bombardements en Libye et la volonté d'armer les rebelles en Syrie, figure la provocation inutile de Vladimir Poutine. Cet empire européen, toujours en quête d'expansion, a revendiqué territorialement l'Ukraine il y a quelques années. Pire encore, certains membres de l'OTAN ont déclaré souhaiter eux aussi l'adhésion de l'Ukraine. Nous avons directement encouragé le soulèvement en Ukraine qui a conduit au renversement du président Ianoukovitch, ce qui a bien sûr provoqué la réaction de Vladimir Poutine. Et la morale de l'histoire est que si vous piquez l'ours russe, ne soyez pas surpris de sa réaction. Pour continuer sur cette lancée, nous nous empressons aujourd'hui de conclure un accord d'association avec l'Ukraine à une vitesse excessive, et au moment même où nous parlons, des soldats de l'OTAN participent à des exercices militaires en Ukraine. Avons-nous perdu la raison ? Voulons-nous vraiment une guerre avec Poutine ? Car si nous le faisons, nous nous y prenons assurément de la bonne manière. Peut-être devrions-nous reconnaître que l'Occident est aujourd'hui confronté à la plus grande menace et à la plus grande crise que nous ayons connue depuis plus de 70 ans pour notre mode de vie. Les récentes décapitations d'otages britanniques et américains illustrent parfaitement le problème. Et bien sûr, nos propres citoyens, issus de nos propres pays, sont également engagés dans cette lutte. Dans la guerre contre l'extrémisme islamique, Vladimir Poutine, quelle que soit notre conception de l'être humain, est en réalité de notre côté. Je suggère que nous grandissions. Je suggère que nous reconnaissions la menace réelle qui pèse sur tous nos pays, communautés et sociétés. Cessons de nous livrer à des jeux de guerre en Ukraine et commençons à élaborer un plan pour aider des pays comme la Syrie, l'Irak, le Kenya et même le Nigéria, à faire face à la menace réelle qui nous menace. Cessons de provoquer Poutine, qu'on l'apprécie ou non. Nigel Farage: Stop playing wargames with Putin Transcript: Amongst the long list of foreign policy failures and contradictions in the last few years including, of course, the bombing of Libya, the desire to arm the rebels in Syria, has been the unnecessary provocation of Vladimir Putin. This EU empire, ever seeking to expand, stated its territorial claim on the Ukraine some years ago. Just to make that worse, of course, some NATO members said they too would like the Ukraine to join NATO. We directly encouraged the uprising in the Ukraine that led to the toppling of the president, Yanukovych, and that led of course in turn to Vladimir Putin reacting. And the moral of the story is if you poke the Russian bear with a stick, don't be surprised when he reacts. Just to continue with that, today we are rushing through an Association Agreement at undue speed with the Ukraine and as we speak there are NATO soldiers engaged in military exercises in the Ukraine. Have we taken leave of our senses? Do we actually want to have a war with Putin? Because if we do, we are certainly going about it the right way. Perhaps we ought to recognise that the West now faces the biggest threat and crisis to our way of life that we have seen for over 70 years. The recent beheadings of the British and American hostages graphically illustrates the problem. And of course we have our own citizens from our own countries engaged in that struggle, too. In the war against Islamic extremism, Vladimir Putin, whatever we may think of him as a human being, is actually on our side. I suggest we grow up. I suggest recognise the real threat facing all of our countries, communities and societies. We stop playing war games in the Ukraine and we start to prepare a plan to help countries like Syria, like Iraq, like Kenya, like indeed Nigeria, to try and help them to deal with the real threat that faces us. Let's not go on provoking Putin whether we like him or not.